Un labyrinthe pour une maison du XVIIe siècle

Ce sont les précédents propriétaires conservateurs de la maison Oliver Goodrich qui ont contacté la paysagiste Ann Uppington. Quand est venu le temps de créer le paysage autour de leur ca. Maison de 1700, ils étaient ouverts aux suggestions. Uppington avait des idées nouvelles, bien que adaptées à la période.

Rétrospectivement, dit la créatrice, elle pense que sa fascination pour la calligraphie a influencé sa recommandation d’installer un labyrinthe. C’était ambitieux pour une propriété de moins d’un acre. Uppington a décidé d’adapter un design de labyrinthe-jardin installé au 17ème siècle, à Chantilly, France.

Dans tous les sens, le labyrinthe en spirale est parfait pour la propriété. Tout d’abord, les termes: «labyrinthe» et «labyrinthe» sont souvent utilisés de manière interchangeable, mais ils diffèrent. Un labyrinthe est un circuit qui s’enroule clairement vers un centre et recule. Un labyrinthe a plusieurs moyens vers une destination, souvent avec des impasses. Les circuits en spirale de cette maison créent un labyrinthe entourant une sphère armillaire au centre. Composé de rangées de haies soigneusement taillées, le labyrinthe à feuilles persistantes conçu par Uppington est graphique à la fois l’été et le (long) hiver. Aucune protection n’est nécessaire.

La propriétaire d’aujourd’hui, Jessica Marbain, explique qu’Uppington a acheté des dizaines de buis «Green Mountain» dans des pots de gallons à une pépinière de gros, en plaçant les plantes à deux pieds de distance. L’astuce consistait à planifier la croissance des buis, de sorte que même à leur maturité, les sentiers soient d’une largeur suffisante pour les marcheurs. Laisser deux à trois pieds pour les allées en pierre de pois, et au moins quatre ou cinq pieds entre les circuits en spirale, a fourni suffisamment de place pour la croissance des plantes.

En l’espace de trois ans, le buis était en bonne voie d’être remblayé. Aujourd’hui, le labyrinthe est remarquable et même chic, niché à côté du garage avec ses peintures en trompe-l’œil. Comme la maison, le labyrinthe s’intègre parfaitement et a pourtant du panache.