Robb nestor et Bill Reynolds ont examiné plus de 200 maisons avant d’acheter un Colonial à cheminée centrale de 1732, sur 11 acres non cultivés dans le Connecticut. « Je voulais désespérément un « salon de jardin », alors nous avons continué à chercher une maison avec un, puis nous avons réalisé que nous devions le créer nous-mêmes », explique Robb. « Lorsque nous avons trouvé la propriété, nous savions que c’était ça. Cela nous a parlé; nous avons vu son potentiel.
Lorsqu’ils ont commencé leur recherche d’une maison de retraite, le couple vivait à Atlanta, où Robb avait une entreprise prospère d’aménagement paysager. Au départ, ils ont cherché en Géorgie et au Tennessee, jusqu’à ce que Bill tombe par hasard sur le livre. Le salon du jardin : ramener la nature à l’intérieur, de Timothy Mawson. Le livre présente de nombreuses scènes du Connecticut. Le couple a trouvé ceux-ci si attrayants qu’ils se sont dirigés vers le nord, dans l’État d’origine de Robb, à la recherche de lieux du livre. « Ce livre nous a amenés dans le Connecticut et dans notre maison », dit Bill.
Sur une période de trois ans, les deux ont fait la navette de la Géorgie au Connecticut le week-end, emballant à chaque fois un camion de 26 pieds avec des matières végétales, des ornements de jardin et des meubles d’intérieur. « C’était 16 heures de route aller-retour, mais l’avantage était que nous avions ce temps pour parler du jardin », explique Bill.
« Et voir l’endroit avec des yeux neufs chaque fois que nous revenions nous a aidés à avoir une image complète : ce que nous voulions, ce qui fonctionnait et ce qui ne fonctionnait pas », ajoute Robb.
La vision du jardin, qui s’écoule maintenant de manière transparente d’un espace à l’autre sur trois acres cultivés, a commencé avec le jardin de vivaces. Ils ont placé une fontaine au milieu comme point central car la maison surplombe cette bande de terre. Le reste des jardins a évolué autour d’elle. « Nous voulions quelque chose d’un peu habillé là-bas. Après cela, tout le reste s’est mis en place », explique Robb.
Le couple n’a pas adhéré à un plan de jardin fixe. Au lieu de cela, ils ont permis au jardin de se développer de manière organique et créative. Pourtant, tout au long du processus, ils ont veillé à ce que la structure formelle ne l’emporte pas sur la simplicité de l’ancienne ferme.
« Nous n’avons pas tout aligné. Nous ne voulions pas tout sur un axe », explique Robb. « Finalement, nous avons ajouté la maison de jardin et créé un jardin d’agrumes. Ensuite, pour équilibrer le tout, nous avons ajouté le White Garden, pour finir avec une autre connexion linéaire.
l’hiver.
Bill est un « architecte frustré » autoproclamé et un amoureux du design d’intérieur. Lorsqu’il concevait des dépendances, dont The Temple, une dépendance néoclassique saisonnière pour des réunions intimes, il a adhéré aux mêmes principes qu’ils avaient appliqués au jardin. Le bâtiment est de style classique mais pas trop structuré, le gardant en harmonie avec l’environnement.
Le couple passe de nombreuses heures dévouées et délicieuses à entretenir et à entretenir son jardin, et affirme qu’il en est obsédé. Bill, qui a grandi en Géorgie en profitant du jardin de ses grands-parents, considère « l’entretien » comme une passion plutôt qu’une corvée. Il apprécie d’avoir un exutoire créatif. « J’ai rencontré Robb quand j’étais dans la restauration », se souvient Bill. « Nous avions une serre dans l’un de nos restaurants et Robb s’occupait des plantes là-bas, alors les plantes nous ont réunis. »
Pour Robb, la joie vient de la conception mais aussi de l’expérience du changement d’aspect du jardin. « Il y a de la satisfaction lorsque vous faites bien votre travail et que vous pouvez vous asseoir et l’apprécier. Comme être écrivain ou peintre », dit-il.
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